Moi, c'est Matteo Sören Hansley-Oxburry, je sais c'est plutôt long, mais tout le monde m'appelle Sören, Matt, ou encore le merdeux. J'ai vingt-et-un ans car je suis né un certain seize mai, 1990 à Newcastle, qui se situe en Angleterre. Je suis anglais et possède des origines italiennes, allemandes et irlandaises. Je parle anglais et italien mais ma langue natale est l'anglais. En dehors de cela, ma famille se compose de mon père, Jeremiah Hansley (riche chef d'une entreprise anglaise), divorcé de Leigh-Madison Hansley (ex chanteuse de cabaret ayant reçu un héritage plutôt généreux de ses parents), remarié à Francesca Oxburry (créatrice de mode italienne) qui, elle, divorça pour rester en concubinage avec un très très jeune allemand, Rory Strömblad. J'ai deux demi-sœurs issue du premier mariage de mon père, Amanda et Lennon. Un frère et une petite sœur : Calvin et June. Puis par ma mère, un petit frère, Stevie. Tandis qu'au niveau financier, elle se situe dans la classe social très aisée. En ce moment, je suis célibataire tout simplement parce que jamais je ne trouverais une fille qui me supporterait. Sinon je suis musicien à mes heures perdues. On dit de moi que je suis extraverti, bagarreur, charmant, orgueilleux, passionné, égoïste. Je fais également parti du groupe I'm a member of staff. Les gens trouvent souvent que je ressemble étrangement à Francisco Lachowski.

« Hmm.. Comment te dire que j'en ai rien à foutre, maman ? » elle me fixa, de son regard qui signifiait : les emmerdes arrivent. « Déjà, tu vas me parler sur un autre ton jeune homme ! » je soupirais, arborant ensuite un sourire niais, empruntant une voix encore plus ridicule et enthousiaste, presque chantonnant. « Comment te dire que j'en ai rien à foutre ! Maman ! » puis, abandonnant mon sourire en l'espace d'une seconde, elle ne put que se contenter d'appeler mon père, l'allumant à mort pour qu'il soit sans pitié avec moi. « Matteo ! C'est vrai ça ? Tu parles mal à ta chère mère ? Ce n'est pas comme ça que nous souhaitions t'éduquer jeune homme. Tu es privé de sortie jusqu'à nouvel ordre ! » Il s'énervait, juste pour avoir l'air viril devant ma mère qui lui ferait sûrement une bonne gâterie le soir même pour le féliciter. Mais j'en avais tellement rien à faire de leurs mots, de leur soi-disant intérêt soudain à m'apprendre à mieux parler. Je fis le signe des cornes du diable, le signe rock'n'roll que j'appréciais leur faire en guise d'approbation. J'avais toujours eu ce caractère décalé face à ma famille. Tous mes : frère, demi-frère, soeur ou demi-soeurs, suivaient des cours particuliers. Essayant d'apprécier au maximum ce que leurs infligeaient les parents. Mais moi, pour changer, soit je me tapais la prof, quand c'était une fille hétérosexuelle (bien qu'en général, la beauté n'était pas parfaite, mais après tout on s'en fout, c'était juste histoire de ne pas bosser) ; ou soit je trouvais le plus vite possible (après un ou deux cours en général) le principal intérêt de mon précepteur et je l'étalais, en tant que sujet de conversation. Lui il était payé, moi je foutais rien et ainsi, tout le monde était content. Pour avoir des bonnes notes je marchais en chantage et ça fonctionnait à merveille. Mais à part ça, je n’ai jamais été manipulateur. Non je vous assure, jamais. Disons que, je suis simplement le jeune rebelle de la famille…

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