Moi, c'est farrah litza-rose oxburry, mais tout le monde m'appelle litza ou lili. J'ai 21 ans car je suis né(e) un certain 12 mai à st louis dans le missouri, qui se situe en amérique, aux États-Unis plus précisément. Je suis américaine et possède des origines mexicaine. Je parle le française et l'espagnol mais ma langue natale est l'anglais. En dehors de cela, ma famille se compose de mon grand-frère. Tandis qu'au niveau financier, elle se situe dans la classe social moyen. En ce moment, je suis célibataire tout simplement parce que l'amour et moi, c'est pas trop ça. Sinon je suis femme de ménage et étudiante en criminologie. On dit de moi que je suis ambitieuse arrogante audacieuse agressive déterminé bagarreuse directe impulsive forte insouciante futée imprévisible honnête jalouse indépendante lunatique débrouillarde négative mystérieuse orgueilleuse naturelle rancunière séductrice susceptible troublante solitaire attachante têtue généreuse langue de vipère. Je fais également parti du groupe I'm a member of staff.. Les gens trouvent souvent que je ressemble étrangement à nina dobrev.

« Va t-en ! Pars de cette maison et n'y remets plus jamais les pieds.» C'est sous une pluie tonitruante et les cris horripilant de sa mère que Litza avança la tête haute, son sac à dos pleins de vêtement jetés en tas tenu par une seule des bretelles à l'épaule de Litza-Rose. Le problème, c'est qu'elle avait hérité de la fierté de son père et à ce moment précis, sa fierté la dirigea, elle ne s'arrêta, d'un pas lourd et décidé, elle ouvrit la portière de sa voiture qu'on lui avait offert d'occasion à son seizième anniversaire et pénétra à l'intérieur de celle-ci sans un regard pour son père, furibond et à la fois si affligé de tristesse, pour sa mère, elle n'avait pas besoin de le dire, on lisait à travers ses larmes, ses cris tout le désespoir de perdre une nouvelle fois sa fille à cause d'une énième dispute puéril qui avait causé une altercation père/fille, puis un mot de trop et ce fut le choc. La première baffe fut mise par son père, puis les paroles dépassèrent les pensées, mais tout ceci devenait une habitude, sauf peut être la gifle, c'était la première et la dernière, elle était résolue, cette fois-ci elle ne céderait plus au excuse de son père, au supplication de sa mère, c'était terminé. Roulant au son des Sex Pistols, groupe ne supportant pas tout comme elle l'autorité parentale et même l'autorité en général. Litza voulait vivre sa vie, finir ses études de criminologie pour intégrer l'une des nombreuses sections de police scientifique qui existait aux États-Unis. C'était un rêve de gosse. Arrêter les méchants et triompher contre le mal. Bien sûr, le rêve n'était plus aussi enfantin, mais ils ne s'éloignaient pas trop de cette idée là.

« Lili ? Qu'est ce que tu fais là ... Tu ... Tu veux bien attendre quelques secondes.» C'était toujours pareil. Pour continuer à appuyer là où ça faisait mal, Litza n'avait qu'à se rendre chez le pire ennemi de son père : Son grand-frère. Lui et Litza n'étaient pas très proche, d'ailleurs lorsqu'ils se retrouvaient dans la même pièce, il y avait souvent des blancs, mais c'était une manière pour eux de communiquer à l'aide de regard, de sourire gêné ou même d'un simplement mouvement de sourcils. Comme elle s'y attendait, son frère continuait ses affaires illégales. Une blonde siliconée sorti de l'appartement à son frère, à la fois contrariée et furieuse d'avoir été dérangé pendant l'activité qui lui garantissait d'arrondir ses fins de mois. « Ne t'inquiète pas, je ne comptes pas te remplacer, je suis sa sœur, bye bitch.» Un manque de tact évident qui caractérisait parfaitement les Oxburry, ils avaient toujours quelques choses à dire et lorsqu'ils ouvraient la bouche, ce n'était pas pour vous faire un compliment, il ne fallait pas trop fantasmer de ce côté là. Enfilant un t-shirt comme si la vue de son corps qui été encore sous l'excitation de la catin allait effaroucher Litza qui avait déjà dû voir le torse de son frère une bonne centaine de fois. C'était aussi un truc familial ça, la pudeur entre eux. Se mettre en maillot de bain devant sa sœur ou son père, c'était déplacé pour eux. Des traditions bien compliqués à suivre, mais c'est bien pour ça qu'on disait que c'était familiale. « Encore une dispute avec l'autre bouffon ? » Terme péjoratif pour désigner leur géniteur. Un blanc. Il regarda sa jeune sœur baissait la tête une demi-seconde pour comprendre qu'il s'agissait de cela. Alors comme chaque fois qu'elle se ramenait par chez lui, c'était les même réflexe qu'il répétait sans cesse. Il offrait un bol de lait chaud à sa sœur, sa boisson préféré depuis qu'elle était gosse, d'ailleurs on se demandait bien comment elle pouvait boire du lait de cette manière, sans sucre, ni chocolat.

« Regarde, il y a un poste sympathique pour toi sur le Word Express » Levant finalement le regard de ses feuilles de cours, les anciennes aurais-je dû préciser, puisque c'était enfin les vacances qu'attendaient Litza-Rose. Elle n'avait pas pardonné à son père l'horrible geste qu'il lui avait porté au visage et vivait donc désormais chez son frère et continuait à suivre ses cours à l'université de St. Louis où elle vivait depuis sa naissance. « Je viens de terminer mes cours et tu veux me faire prendre un boulot ? J'étais sûr pourtant qu'on n'était pas le premier avril. » Le cynisme ou comment Litza-Rose se m'était souvent dans des situations délicates, elle ne mâchait pas ses mots, mais en plus, elle était du genre à faire de l'ironie, de quoi ne pas être madame perfection de l'année 2011. Hélas, le cynisme n'est pas toujours la chose qui vous fera sortir de votre pétrin, c'est ce que constata Litza-Rose qui eut le droit à une liste de reproche de la part de son frère aussi longue que la liste du père noël par écrit par tout les enfants du mon entier. « Il te suffit d'être souriante, agréable et active dans les taches ménagères ... Bon d'accord, ça va pas être simple, mais Lili, c'est la seule chose qui pourra payer tes études l'année prochaine, pense-y. »

Il y a encore un mois, vous lui auriez dit qu'elle serait à bord du World Express vêtu comme une cendrillon des temps moderne, elle vous aurez rit au nez avant de gentiment vous demandez d'aller vous faire voir, mais c'était bien cette scène qui se déroulait contre son gré. Elle était pauvre et on l'avait vêtu comme tel, histoire qu'on face la différence dans ce fichu bateau. Le rangement n'est pas ce qui embête le plus Lili, la chose qui l'horripile le plus, c'est le regard des gens, entre pitié, indifférence totale pour la catégorie sociale inférieur ou même parfois des fantasmes, elle en a même déjà remis quelques-uns à leurs places. « Mon pote, évite de te prendre pour DSK, je suis pas le genre de femme de ménage à me laisser faire, je suis plutôt du genre à avoir un grand frère et à avoir pratiqué de la boxe pendant un an, tu vois le truc ? »