✎ Il a vingt-trois ans
✎ Il est Australien
✎ Il a toujours connu le luxe et pourtant, il n'est jamais devenu un type capricieux.
✎ Après une énième dispute avec son père, il a décidé de se mettre à travailler pour gagner ses propres sous.
✎ Sur le bateau, il préfère se faire passer pour un type venant d'un milieu moyen voire pauvre.
✎ Le reste de l'histoire est libre

« Qu'est ce que ... » « Tiens ... Tu dois être Litza-Rose. Je suis ... » « Écoute, je vais essayé d'être sympa, comme c'est mon premier jour, alors tu vas virer tes fesses de mon lit avant que je m'en prends à tes attributs masculins. » « Ta proposition est vraiment tentante, mais, je ne couche pas avec mes collègues, désolé. Oh oui, c'est ça que je voulais te dire avant que tu me fasses des propositions douteuses, je suis la deuxième femme de ménage, enfin je dirais plutôt homme et donc, on est dans l'obligation de partager cette chambre et tu vois, je m'y plais bien sur ce lit, donc je le garde, des objections ? Non, parce que je crois qu'après ça, tu vas gentiment te la boucler et aller ranger tes affaires dans ton coin en ruminant je-ne-sais-quoi à mon propos. ». « Contrairement à ce que tu penses, je ne suis pas ce genre de fille. Tu me provoques ? Très bien, dans ce cas, on va partager ce lit que tu le veuilles ou non, je ne bougerais pas de là. » La première rencontre aurait pu être dix fois plus explosive connaissant le caractère assez volcanique de la jeune femme, pourtant c'est à partir de ce premier jour que tout commença. Une relation basait sur des provocations et des défis autant absurde que puéril que les deux relèvent tout de même et bien qu'on pense le contraire, ils font le meilleur travail dans tout le bateau lorsqu'ils travaillent ensemble, hélas avec deux tête de mules tel que eux, c'est pas toujours facile la vie à leurs côtés, mais plus Litza-Rose pousse des cris, plus c'est bon signe et cela veut dire qu'elle vous apprécie, ce qui n'a pas échappé à Jaycee qui commence lui aussi à s'habituer à l'odeur de vanille de la jeune femme lorsqu'elle s'endort dans le même lit que lui le soir. Il y a aussi cette attraction physique qui n'échappent à personne, même pas à eux, mais ils ont peur de détériorer leurs relations si fusionnelle et qui promets encore beaucoup de défi à gogo. « Toi qui joue le malin, va embrasser la copine du baraqué là. » « Arrête Lili, je souffre encore de l'épaule depuis que l'autre malade à voulu me passer par dessus bord à cause de tes défis débiles. » « Alors tu capitules enfin ? Je suis la grande gagnante, c'est moi qui aura le lit jusqu'à la fin de la croisière ? » « Tu devrais arrêté de fantasmer, ça ne te va pas à ce que je vois. Je vais aller l'embrasser la traînée, mais après je te mets au défi d'aller embrasser son copain. ». « Ça va pas ? Tu crois vraiment que ... J'ai rien dit, je vais le faire. » Le problème, c'est que le jeu n'est plus le même depuis quelques temps. Ils n'avaient pas prévu que des sentiments entreraient en jeu et que lorsque l'un cherchait à rendre jaloux l'autre, ils feraient des crises d'hystéries. Deux furies ensemble, ça serait à la fois terrifiant et génial, mais faudrait-il encore que l'un des deux cessent de jouer et dévoile enfin ses sentiments.