Moi, c'est elena poppy-jane williams, mais tout le monde m'appelle lena ou poppy ou jane ou blondie c'est au choix hein.. J'ai vingt-trois ans car je suis née un certain quatre juillet mille neuf cent quatre-vingt sept à new-york, qui se situe aux états-unis. Je suis américaine et possède des origines françaises, espagnoles et américaines. Je parle français, espagnol et anglais mais ma langue natale est l'anglais. En dehors de cela, ma famille se compose de moi et de mes parents et de mon grand frère. Et oui aucune soeur avec qui me prendre la tete, juste un aîné très chiant. Tandis qu'au niveau financier, elle se situe dans la classe social riche. En ce moment, je suis plus ou moins en couplel tout simplement parce que j'aime mon homme tiens. Par contre j'aime moins nos disputes mais bon l'amour c'est pas toujours rose, si ?. Sinon je suis étudiante en droit & stagiaire dans une maison d'avocat, du moins à New-York. On dit de moi que je suis sociable ♣ douce ♣ gentille ♣ attachante ♣ marrante ♣ délurée ♣ fêtarde ♣ jalouse ♣ rancunière ♣ têtue ♣ méfiante ♣ douce ♣ patiente ♣ délurée ♣ nerveuse ♣ souriante ♣ têtue ♣ attachante ♣ optimiste ♣ à l’écoute ♣ fidèle ♣ possessive ♣ cachottière ♣ lunatique ♣ aimable.. Je fais également parti du groupe money is my principal asset. . Les gens trouvent souvent que je ressemble étrangement à candice accola.

« James, je vais accoucher ! » Ma mère regardait mon père avec un regard inquiet, elle savait que le terme était bientôt mais pas ce soir, elle avait une soirée sur le dos. « Quoi ? Maintenant ? Et la soirée ? » Pas besoin d’être devin pour savoir que mon père était aussi paniqué que ma mère. « Ecoutes moi bien, je me moque pas mal de la soirée, amène moi juste à l’hôpital… C’est de ta faute si je suis comme ça. » Ouais ma mère n’avait jamais fait dans la demi-mesure et la fameuse fête dont mon père parlait était celle du 4 Juillet, oui la fête nationale et bien c’est ce jour là que j’ai décidé de naître et mais parents on été plus qu’heureux de m’accueillir, parce qu’ils avaient toujours voulu avoir un enfant et ça a été moi, d’ailleurs j’ai été la seule enfant de ma famille car il y a eu des complication durant la grossesse de ma mère. Enfin bref, l’idée est que c’est un certain quatre juillet mille neuf cent quatre-vingt sept, il y a vingt-trois ans de ça maintenant que je suis venue au monde. [color=blue]« Mademoiselle Williams ici c’est pas une cours de récréation mais un cours de danse. »[color] Réflexion de mon prof de danse devant toute la classe à mon égard. Mon Dieu que je ne l’aimais pas du tout celui là mais comme c’était mon prof de danse je n’avais pas d’autre choix que de me montrer discrète et de ne rien dire. J’avais commencé la danse il y avait à peine un an, alors âgée de neuf ans. Depuis que j’étais toute petite je m’amusais à danser un peu partout et en grandissant ma mère m’a inscrite dans une école de danse, oui parce que d’après elle danser c’était pas mal et j’y étais trois fois par semaine, pas mal hein ? Et comme j’adorais ça, ça allait et ma mère était rassurée de voir que je ne passais pas que mon temps à traîner. Mais la vie n’est jamais aussi belle qu’on le croit hein. Une vilaine ombre est venue noircir le tableau de ma jolie petite vie lorsque mes parents ont décidé de se séparer, parce qu’ils ne voyaient plus l’intérêt de rester mariés s’ils ne se voyaient presque jamais à cause de leurs carrières respectives et que les sentiments n’étaient plus vraiment là. Mais bon ils ont divorcé à l’amiable, je n’ai donc pas eu de cris et de larmes juste le déménagement de mon père dans un autre appartement de la ville pendant que moi je restais vivre avec ma petite maman, une chance quand même que mon père ne soit pas trop loin, au moins je pouvais aller le voir aussi. « Merde Blondie il faut vraiment que t’arrêtes hein. »& voilà un jeune brun d’à peine trois ans de plus que moi qui débarquais dans ma chambre alors que je venais tout juste de fermer la porte quelques secondes plus tôt. « Mais de quoi tu parles encore ? » Question absolument stupide vu que je savais très bien de quoi il voulait parler mais j’avais toujours cette habitude de le faire marcher et en grandissant, cette sale habitude est restée si bien que dès que j’en avait l’occasion je m’amusais à le faire marcher autant que possible rien que pour le plaisir de le voir s’énerver et puis il me le rendait bien ne vous en faite pas pour lui. « Je ne sais pas moi, je parle de la fille que j’ai mis dehors et que j’ai retrouvé en train de prendre son petit-déjeuner dans la cuisine. Dis-moi tu te moques de moi ou bien ? » J’avais très envie de lui dire oui que je me moquais de lui et que je ne connaissais pas plus que ça c’est fille mais bon ça me faisait rire donc je m’en donnais à cœur joie. Pour la petite histoire on ne peut pas vraiment dire que mon frère soit un modèle de vertu et de fidélité, d’ailleurs je me demande s’il a déjà eu une vraie histoire sérieuse, mais j’en doute fortement vu le nombre de conquêtes qu’il a. Et donc moi pour m’amuser dès que j’en trouvais une un peu trop conne, le hasard voulant que je me lève toujours avant mon grand frère adoré, et bien je m’amusais avec et ça avait le don d’exaspérer Nathanaël qui voulait juste d’une histoire d’une nuit avec chacune d’entre elles. C’est comme ça que j’ai réussis à faire croire à plusieurs d’entre elles que Nathanaël m’avait confié qu’il les trouvait unique et qu’elles étaient peut-être LA bonne, résultat elles le collaient. Je racontais à certaines qu’on allait devenir grandes amies et passait une bonne partie de la journée avec elle pendant que mon frère était là bien sûre et bien que je n’avais aucune envie de leur parler l’expression sur le visage de Nate valait vraiment de détour. « T’allais pas la mettre dehors comme ça quand même ? Et puis elle avait faim c’est elle qui me l’a dit. » Et oui la jeune femme de ce matin avait eu droit à un repas offert par la maison à condition qu’elle reste jusqu’au réveil de mon frère et une fois qu’il la découvert encore là, il s’est fait une joie de la mettre dehors sans chercher à comprendre quoique ce soit avant de se concentrer à nouveau sur ma petite personne qui ne demandait rien à personne. « Dis-moi Blondie depuis quand t’écoutes ce qu’on te dit toi ? » Hum depuis jamais sans doute mais je n’allais pas lui dire ça, il allait trop être content et un sourire d’ange plus tard, je lui claquais la porte de ma chambre au nez. Ma relation avec Nate a toujours été comme ça depuis notre plus tendre enfance il faut le dire. A l’époque où je suis née il avait déjà trois ans et savait déjà beaucoup de chose comme il aime me le rappeler. Je suis née et j’ai vécue une bonne partie de ma vie à New-York, dans un quartier riche mais ne rêvez pas non plus tout n’est pas comme dans Gossip Girl non plus ça c’est une fiction et nous on est dans la réalité. Enfin bref, oui, vous l’aurez compris, je viens d’une famille assez riche voir même très serait le mot le plus exacte mais je ne suis pas imbue de moi-même non plus rassurez-vous. Comme je le disais je viens d’une famille riche et j’ai aussi connue le cliché de la nounou présente et des parents absents parce que lorsque j’ai eu un an mes parents ont repris le chemin du travail et moi celui des bras de la nourrice et je me suis rapprochée de mon frère et c’est dès notre enfance qu’on a eu une relation très complice et fusionnelle. Il est sans doute la personne qui me connait le mieux au monde et moi c’est pareille avec lui. On était tellement complice que même lorsqu’il est parti de la maison pour aller à l’université d’UCLA en Californie on se parlait tous les jours au téléphone et aujourd’hui même avec nos vies respectives on s’appelle tous le temps. Enfin bref, parlons un peu de moi voulez-vous?

« Blondie, dis-moi tu m’aimes ? » Le jeune homme qui venait de s'adresser à moi était Jeremiah, mon homme rien qu'à moi et ce depuis un peu plus d'un an et demi. « Jeremiah c'est quoi ton délire là ? » « Tu ne me le dis jamais alors j’attends… » Il savait très bien que je ne disais presque jamais au gens que je les aimais, peur de souffrir et de l’engagement sans doute et puis comme ça je ne les perdait pas exacte? « Oui je t’aime et tu les sais très bien donc ne penses pas que je te le dirai tous les jours non plus c'est pas Noël non plus… » Et voilà qu’il souriait ce con, il m’avait bien eu quand même. « C'est bien parce que je t'aime aussi. »Et voilà le con il était plus qu'heureux mais notre relation était toujours comme ça, c'est à dire que moi je tapait du poing et lui faisait la même chose et pourtant on était toujours amoureux l'un de l'autre et collé tout les deux. « Il faut que je t’avoues quelque chose.. »« Quoi ? » « Je dois déménager dans une semaine» Dîtes-moi qu’il rigole. Silence de ma part. Il savait que j’avais toujours eu peur qu’un truc comme ça arrive et que je n’aimais pas les relations longues distances et à une semaine de son départ il me l’avouait enfin. « Babe, dis quelque chose » « Sors…. » « Blondie… » « SORS ! » Et il est parti. Quand je dis parti c’est qu’il a quitté New-York pour ne plus jamais revenir, il s'est juste barré comme ça du jour au lendemain. Et maintenant me revoilà quatre ans plus tard, à la porte de mes vingt-quatre ans prête à embarquer sur ce bateau en compagnie de mon homme à moi Ezechiel, qui a bien accepté de m'accompagner faire cette longue croisière. Mais avant laisser moi vous faire un résumer de ma vie. J'ai bien grandit depuis le départ de Jeremiah, la preuve je ne suis plus une jeune femme désabusée qui pense que tout est rose. Je suis en train de boucler ma dernière année d'étude en droit et pendant ce temps, je suis à la fois stagiaire dans une maison d'avocat comme ça je suis sûre que c'est vraiment ce qu'il me plaît. Quand à la croisière qui n'en a pas entendue parlé ? Donc en ayant entendu parler j'ai pris l'argent de papa et de maman, merci à eux et j'ai embarqué avec Ezechiel. D'ailleurs en parlant de lui je l'ai connu à l'université de Columbia, à New-York et ne croyez pas pour autant qu'on s'est sauté de suite dessus, on a d'abord été amis et ce pendant deux bonnes années avant de nous rapprocher et de sortir ensembles officiellement depuis un an. « C'est quoi ça ? » Voilà mon homme qui me regardait avec des yeux ahuris en tenant des billets dans sa main. « Les billets pour la croisière » Et oui le fameux tour du monde« Tu étais sérieuse ? » « Ben oui je veux la faire avec toi» Pas la peine d'avoir le Q.I. d'Einstein pour voir à sa tête qu'il était pas convaincu. « S'il-te-plaît.... »« D'accord... » « D'accord !? » Hochement de tête de sa part.« Aaah tu peux pas savoir comme je t'aime là. » Et nous voilà là en train d'embarquer. Maintenant plus qu'une question, qu'est-ce que va-t-il nous arriver pendant ce fameux tour du monde ?.